jeudi 11 décembre 2008

Journée des métiers

Le 27 novembre dernier, l’école a organisé, comme chaque année d’ailleurs, la journée des métiers spécialité informatique.

La journée a commencé dès 9h30 du matin avec le mot du directeur de l’école qui a profité du moment pour annoncer la pose de la première pierre du bloc constituant une extension de l’ENSICAEN mais sur le même site, c'est-à-dire le campus 2. Ainsi, le vendredi 28 novembre à 11h, nombreuses personnalités dont professeurs, chercheurs et élèves ont assisté à l’événement…

A 10h, commencèrent les présentations des anciens élèves de l’école. Le premier était un chercheur travaillant dans la société EXALEAD basée à Paris. Il était un ancien étudiant de l’école en 2000 et il a passé près de huit ans dans cette entreprise. Bien évidemment, Xavier Roche, a commencé par introduire l’entreprise. EXALEAD est une société de recherche et développement dont le principal objectif est de finaliser son projet, le moteur de recherche EXALEAD. Ce moteur, méconnu du grand public, et caché derrière les géants du secteur en l’occurrence Google, a toutefois des particularités et des innovations qui le rendent crédible. Par exemple, la recherche des informations à l’intérieur des fichiers multimédia et ce grâce au moteur VOXALEAD qui combine les textes d’EXALEAD et la reconnaissance de voix de LIMSI pour donner une transcription des paroles permettant de mieux naviguer dans les vidéos. Outre la description des secteurs d’activité de l’entreprise, Xavier Roche nous a épatés par la démonstration de ces moteurs de recherche.

A 10h45 était l’heure de la pause, le temps pour moi de se dégourdir les jambes et surtout de réfléchir vis-à-vis à ce que j’ai entendu le matin. Xavier Roche a bien présenté le secteur dont lequel il travaille, mais je me posais sans cesse une interrogation - cette question a été déjà posée dans l’amphi par un de mes camarades mais la réponse de Xavier ne m’a pas convaincue : Quelles sont les ressources d’EXALEAD ? Et pourra-elle rivaliser avec GOOGLE par exemple ?

Pour moi, c’est essentiel et primordial que, lorsque le moment sera venu pour choisir dans quelle société je vais travailler, il faut que je connaisse les objectifs de cette entreprise et comment je dois procéder pour aider l’ensemble du staff à aboutir à ces finalités. J’ai beau réfléchi et j’ai abouti aux constations suivantes : Je ne crois pas que je suivrais Xavier Roche dans son parcours, car, il fallait au début choisir la majeure Imagerie pour le deuxième semestre ce qui ne m’attire pas, et aussi, il fallait s’aventurer dans le domaine recherche et développement qui s’avère pour moi un domaine très vaste et difficile à supporter.

11h était l’heure pour que Sandrine Dos Santos, qui n’est pas ressortissante de l’école, nous présente un logiciel 3DVIA VIRTOOLS.

La matinée finie, il est midi, tout le monde allait manger et se reposer deux heures pour revenir à 14h et assister aux présentations des anciens élèves de l’école de la majeure monétique.

A suivre...

Le conseil

Comme chaque année l’ENSICAEN a organisé une journée des métiers. Une journée où des anciens de l’ENSI viennent nous exposer leurs parcours, et l’après ENSI. Cette année on a eu droit a différents parcours, entre autre, un ingénieur qui a fait son parcours au sein d’une société high-tech, l’évolution d’un ingénieur dans une SSII spécialisé en monétique ou encore un jeune diplômé qui travaille dans une PME spécialisée dans la sécurité informatique. Ces parcours m’ont plus ou moins intéressé, mais pas au point de les développer ou d’en parler pendant des heures. Par contre, un parcours m’a particulièrement intéressé : celui d’une responsable de projet de maitrise d’ouvrage chez BNP PARIABS qui a pu devenir manager dans peu de temps. Ce qui m’a attiré n’est pas la rapidité de l’évolution de sa carrière ni la grosse boite dans laquelle elle travaille mais plutôt le domaine de son travail à savoir le conseil. Un domaine que j’ai évoqué lors de mon dernier billet. Malheureusement je n’ai pas eu droit à sa présentation power point. Je vais donc présenter à ma manière ce domaine que j’ai qualifié comme étant la voie royale pour des profils sortis des écoles les plus prestigieuses. Le rôle des conseils en management est d'assister les dirigeants dans leurs tâches, qu'il s'agisse d'apporter : une aide à la réflexion et à la décision, la solution à une situation de crise ou une aide à la stratégie de transformation. Dans tous les cas, l'objectif principal est d'adapter les entreprises aux changements et assurer le progrès et la pérennité dans un contexte de plus en plus mouvant et complexe intégrant la mondialisation des marchés, la spécificité grandissante des technologies, le nivellement des facteurs de compétitivité, la soudaineté des alliances.
Le changement peut concerner aussi bien des aspects matériels : ligne de production, création de nouveaux produits, service commercial, systèmes d'information que des aspects "immatériels" comme la stratégie, l'organisation de l'entreprise, son management.

On distingue différent domaines d’intervention. J’en citerai les domaines qui m’intéressent à savoir les systèmes d’information l’accompagnement au changement, les technologies, la monétique et le e-business. J’ai une certaine préférence pour les systèmes d’information ce domaine concerne l’application de nouvelles technologies, l’audit informatique, la gestion des grands projets informatiques, intégration des systèmes et la stratégie informatique. Dans ce domaine on recherche une forte motivation, de la rigueur, un esprit d'initiative, une forte créativité, une compréhension rapide de situations complexes, une capacité d’analyse et de synthèse, une grande capacité de communication et d'adaptation et la capacité de convaincre et de fédérer les personnes.


samedi 6 décembre 2008

Le réseau social professionnel en ligne.

Depuis un peu plus de deux ans, des sites de mise en relation professionnelle voient le jour en France. Déjà très répandus aux États-Unis, ces sites connaissent un essor considérable dans l’hexagone. Ils s’appellent LinkedIn, Xing, Viadeo, 6nergies ou encore Piwie, sont simples d’usage et permettent d’élargir dans un temps record ses relations professionnels. Là où l’on avait pris l’habitude de se retrouver dans les associations d’anciens élèves pour développer son réseau d’influence, les réseaux sociaux professionnels en ligne apportent une réelle valeur ajoutée afin d'élargir le champ de nos contacts.

Le concept des sites de networking social se fonde sur la théorie des six degrés, qui démontre que le degré maximum de séparation entre deux individus est de six personnes ( Article du JDN du 20/08/03). Même si Friendster n'est pas le premier site à mettre en pratique cette théorie (en France notamment, le site de propagation de petites annonces iPropi existe depuis l'été 2002, Article du 06/08/03), il est assurément celui qui a rencontré le plus de succès jusqu'à présent.

Grâce à Internet, les pratiques liées aux cercles sociaux professionnels ont été révolutionnées. Elles ne sont plus réservées à des classes sociales privilégiées. En effet, les sites de mise en relation professionnelle sont accessibles à tous. Et c’est ce qui fait toute leur force.

Ces plates-formes sont d’abord un merveilleux outil de recrutement. D’après une enquête parue dans le journal du Net (du 15/05/07), 48,2% des usagers utilisent ces réseaux pour recruter ou changer d’entreprise. Avec plus de 9 millions de membres pour Linkedln, un million pour Viadeo, les entrepreneurs peuvent effectivement accéder en quelques clics à tout type de profil et se montrer exigeants vis à vis à la clareté et au contenu de votre profil ( parcours pédagogique et professionnel ). Mais la fonctionnalité des réseaux est bien plus étendue. Ils permettent aussi de trouver des clients, des collaborateurs, ou encore d’établir des nouveaux partenariats financiers ou commerciaux. De plus, la richesse des bases de données de ces réseaux sociaux virtuels modifie considérablement les attentes. La transparence, le partage et les recommandations sont les principes de base des sites de mise en relation professionnelle. Il ne vous reste plus qu’à vous créer une identité numérique pertinente.


>> Les règles d'or de mise en oeuvre : <<

1) Soigner son identité numérique : Lors de l’inscription à un site de mise en relation professionnelle, il est indispensable de définir au mieux son profil afin de bénéficier de la meilleure visibilité possible.

2) Inviter un maximum de contacts : Plus vos contacts sont nombreux, plus vous aurez de chances d’être contacté ou recommandé.

3) Participer à des espaces communautaires thématiques : Une bonne façon d’approfondir ses relations et d’échanger des bons tuyaux. Mais attention, ce n’est pas le lieu pour vendre vos services : vous risqueriez de faire fuir vos interlocuteurs.

4) Se rendre au minimum une fois par semaine sur la plate-forme à laquelle on est inscrit : Pour répondre aux invitations ou en lancer de nouvelles et mettre à jour son profil.

mercredi 3 décembre 2008

Les secteurs d'activités et les fonctions les mieux rémunérés

Dans le cadre de notre définition de notre projet professionnel on est amené à faire le choix entre plusieurs fonctions dans plusieurs secteurs, cependant il y a des secteurs plus rémunérateurs que d’autres ainsi que certaines fonctions qui font aussi vraiment la différence, l’idéal bien sur est de cumuler les deux. Je me suis donc intéressé à ces fonctions dans quelques secteurs qui peuvent être les nôtres dans pas longtemps.

Le salaire est en effet un paramètre important dans notre choix c’est un moyen qu’utilise les sociétés pour recruter et ensuite motiver ses salaries.

Je me suis intéressé tout d’abord a un secteur qui rassemble plus de 49,4% des ingénieurs à savoir le secteur d’industrie, qui s’est avéré ne pas être le plus rémunérateur car les marges bénéficiaires sont étroites. Le salaire médian des 30-44 ans est de 55 000 euros par ans (ce qui peut paraitre énorme pour un étudiant !! ). C’est les ingénieurs qui occupent des fonctions commerciales qui s’en sortent mieux grâce aux variables, et il faut savoir que le salaire dépend de la taille de leur structure et du chiffre d’affaire généré.

Un secteur qui m’intéresse un peu plus est le secteur de l’informatique un secteur qui face à la crise se maintient, à l’exception notable des éditeurs de logiciels qui vont plus s’investir sur des projets de transformation, d’optimisation et de rationalisation du système informatique. Les directeurs de projet, les directeurs de programme et les architectes réseaux vont donc être très demandés. Il faut savoir que les salaires dans ce secteur varient entre 68K pour les responsables étude et développement et 115K pour les directeurs des systèmes d’information.

Un autre secteur qui m’attire un peu plus, notamment pour ses salaires élevés, à savoir le secteur du conseil, à noter que les élèves ingénieurs de l’ENSICAEN s’intéressent de plus en plus à ce secteur spécialement pour faire de l’assistance à la maitrise d’ouvrage. Les cabinets de conseil sont friands d’ingénieurs dont ils apprécient les capacités d’analyse et l’expérience de terrain. Trois fonctions clés de se secteur : Consultant, il gère tout ou une partie d’une mission pour un client leurs salaires varient entre 70K et 90K. Chef de projet / Manager, sa mission principale est d’augmenter le chiffre d’affaires de ses clients. Il encadre une équipe de consultants. Son salaire varie entre 120K et 180K. Partner, il a pour mission de trouver de nouveaux clients et c’est lui qui a la part du lion, son salaire varie entre 250K annuel minimum et 300k maximum. Il faut savoir que les cabinets de conseil en stratégie représentent la voie royale pour les profils sortis des écoles les plus prestigieuses ou dotées d’un MBA avec des rémunérations de 20% a 30% supérieures aux autres.

Source : cabinet François Humblot.

Site de l’APEC

jeudi 27 novembre 2008

Comment réussir son entretien ?
J?aborde ce sujet parce que moi, comme tous mes camarades et comme tout élève ingénieur en France et dans le monde, nous passons par un entretien, que ce soit pour un stage ou pour un emploi, avant d?intégrer une entreprise quelconque.
De ce fait, apprendre à réagir lors d?un entretien, à échapper à la peur qui éventuellement nous paralyse au moment crucial, savoir quelles attitudes adapter lors des interrogations embarrassantes? sont des règles à maitriser avant toute aventure avec un directeur de ressources humaines.
Ceci dit, le seul moyen de connaitre ces règles est d?anticiper et de répondre aux questions susceptibles à être posées lors d?un entretien.
En général, la première question qu?on pose est « pourquoi avez-vous choisi cette formation ? »
Cette question est destinée à cerner nos motivations et les évènements extérieurs qui ont guidé nos choix, tout au long de nos études universitaires. Si nous montrons que le choix de nos études est lié depuis toujours à notre vocation, cela peut être bien interprété, mais cela peut traduire aussi une obstination négative. D?où la première règle : nuancer. Dans notre cas, nous pouvons dire que nos bonnes moyennes au baccalauréat nous ont orientés vers les classes préparatoires puis les écoles d?ingénieurs, et qu?au cours des trois années d?ingéniorat nous nous sommes passionnés par ce domaine et nous nous sommes aperçus que c?était la bonne voie que nous avons choisie.
Les questions qui suivent vont toucher à peu près à tous les domaines. Les questions de base concernent l?entreprise elle-même et il est impératif de nous informer sur l'entreprise que nous sollicitons. C'est la moindre des choses et les infos recueillies nous serviront à cerner les besoins et les objectifs de la société.
En effet, Le recruteur veut savoir si nous lisions la presse spécialisée, si nous avons consulté le site Internet de l'entreprise sollicitée, bref, comment nous recherchons l'information. Si nous ramons pour trouver les infos, c'est que l'entreprise reste plutôt discrète. Mais, il faut néanmoins que nous montrions que nous savons multiplier les sources de renseignements.
Le thème suivant est le milieu familial. En effet, si le recruteur est amené à nous questionner sur nos parents, nos loisirs, notre tempérament, c'est pour mieux nous cerner et peu importe que nous soyons mariés, pacsés, ou que nous vivions en concubinage. Le recruteur veut simplement connaître la place qu'occupe le boulot dans notre vie. Une question piège peut alors se poser : « Envisagez-vous d'avoir des enfants ? » La réponse est non, dans tous les cas...même si nous attendons le CDI qui va nous permettre de fonder une famille. En revanche, il ne faut pas balancer un non catégorique, sans donner de raisons, ça pourrait paraître louche.
Le recruteur abordera ensuite l'intimité de notre personnalité. Il pourrait, dans ce cas, nous demander de parler du trait principal de caractère ou des qualités et défauts. Nous devons être sincères, ne pas vanter des mérites imaginaires et dire véritablement ce qui fait notre valeur. Toutefois, il ne faut pas montrer tous nos torts. Nous pourrions parler des qualités qui peuvent être des défauts comme par exemple la spontanéité.
Finalement, Nous ne devons pas négliger les loisirs car ils pèsent leur poids dans la balance du recruteur, lors de l'entretien. Décisifs, ils permettent parfois de faire la différence quand on hésite entre deux profils similaires.
Voila, pour ce qui est de recrutement et d?entretien. Avoir cela en tête facilitera notre tâche d?impressionner un recruteur et d?arracher un poste chez une entreprise.
Bonne chance à tous.


publier par Mehdi EL GHERBI

dimanche 16 novembre 2008

les femmes ingénieurs

Comme chaque année, nous sommes quelques filles seulement dans mon école d'ingénieurs. Nous aimerions tous voir évoluer ce nombre. Je pense que la raison de ce constat est une fausse image reflétée par la société du diplôme d’ingénieur et du manque d’information sur les métiers possibles avec ce diplôme : technique, gestion de ressources, management, développement industriel, logistique, achats…. Mais, pourquoi si peu de filles s'orientent-elles vers des carrières d'ingénieurs, scientifiques ou technologiques ? Les raisons semblent multiples, d'ordres culturel et social.
Tout d'abord, on peut constater le plus souvent qu'à l'âge de l'orientation, l'entourage conseille à un garçon brillant de préparer les concours aux grandes écoles, alors qu'il vantera plutôt à une fille les avantages du professorat, de la médecine ou de la gestion. Il a fallu donc près d'un siècle pour que toutes les écoles d'ingénieurs s'ouvrent aux femmes où elles sont 23%. D’autres part, dans la vie active les femmes rencontrent encore des problèmes afin de réaliser l’égalité avec l’homme au niveau des salaires, des postes occupées, de l’accès aux fonctions dérigeantes…
Par exemple, tous secteurs d'activités confondus, les femmes restent encore très minoritaires à des postes d'encadrement. Ainsi, dans les entreprises privées, elles ne représentent que 28% des effectifs cadres. Et plus on monte dans la hiérarchie, moins les femmes sont présentes : seuls 10 % de/#inboxs cadres dirigeants sont des femmes. La principale raison de l'éloignement des femmes cadres des postes d'encadrement est lié au désir de maternité. Autour de la trentaine, elles décident d'avoir un ou plusieurs enfants et de fonder une famille. Or c'est à cet âge que les entreprises cherchent à identifier leurs cadres à potentiel. En effet, ce qui préoccupe le plus les responsables d'entreprise : ce n'est pas tant l'idée que les femmes seront absentes durant leur congé de maternité mais plutôt l'idée qu'elles seront moins disponibles - y compris en esprit - une fois devenues mères. Avec, pour résultat une tendance à "oublier" les cadres féminins quand il s'agit d'identifier un futur cadre dirigeant. Absentes à un moment critique de leur carrière, les femmes cadres ne peuvent donc pas monter dans la hiérarchie à un moment où les hommes cadres sont "à plein régime".
Donc, arrivées au stade de la trentaine, beaucoup de femmes cadres pensent n'avoir que deux choix : faire carrière ou fonder une famille. Pourtant, des solutions existent pour faire co-exister cette alternative. Certaines entreprises, conscientes de ce problème d'inégalité ont décidé de mettre en place des solutions destinées à faciliter l'accès des femmes cadres aux fonctions dirigeantes. Il peut s'agir de gérer autrement la carrière des femmes en anticipant un peu plus leur mobilité, ou bien de neutraliser l'absence liée au congé de maternité afin que leur salaire soit maintenu au même niveau que celui de leurs collègues masculins. D'autres pistes pouvent aussi contribuer à améliorer de manière significative la place des femmes au sein des entreprises : favoriser le recrutement des femmes en proposant une femme et un homme pour chaque poste à pourvoir ou en recrutant une même proportion de femmes et d'hommes par sortie d'école et par candidature, utiliser la formation continue comme instrument de promotion ce qui implique, notamment, d'encourager les femmes à s'engager dans des formations "tremplins de carrière", ou encore d'améliorer l'articulation vie privée/vie professionnelle, en favorisant l'obligation de résultats sur l'obligation de présence. Autant de pistes nouvelles qui démontrent que les entreprises ont pris conscience du rôle qu'elles pouvaient jouer dans l'insertion professionnelle des femmes cadres.
Pour en savoir plus et voir quelques expériences de femmes cadres, vous pouvez consulter les sites suivants:

mardi 11 novembre 2008

Une Expérience à l’étranger
Partir à l’étranger est un concept qui tente de plus en plus de cadres. On se pose donc la question : Quel est l’intérêt pour un cadre de s’aventurer à l’étranger ? Tout d’abord les cadres avec un profil technique et une vraie volonté d’apprentissage ont, grâce à cette période à l’étranger, une expérience complémentaire. C’est en effet un plus indéniable sur leur cv, l’expérience constitue un tremplin professionnel surtout pour des jeunes diplômés qui choisissent de débuter leurs carrières à l’étranger, en plus d’avoir dans leur profil un événement international.
Le départ d’un cadre à l’étranger contient quelques difficultés, l’adaptation en est la plus importante, aussi le cadre doit à son arrivé valider des éléments comme la sécurité sociale et la retraite. Entre autre, s’assurer que la société avec laquelle il s’engage cotise a la CFE (caisse des français à l’étranger) ou à d’autre caisse équivalente ce qui lui permettra de se réserver une protection sociale.
Le retour aussi comporte des difficultés. En effet, le cadre après une absence de longue ou moyenne durée risque de ne plus avoir de réseau, ce cas est moins probable quand l’on s’engage avec une société française, ainsi l’on peut négocier son retour. Autrement l’on subit un éloignement du marché, il est donc préférable de garder le lien avec des personnes du même domaine ou avec des organismes tel que l’APEC (l’agence pour l’emploi des cadres), et de rechercher avant le retour un travail.
De ce qui est des statistiques des français qui ont choisi le départ à l’étranger, l’on en compte 2 millions dont 15% des cadres, ce qui fait entre 230 000 à 300 000 cadres à l’étranger répartis majoritairement entre les pays de l’Europe et l’Amérique du nord.
En ce qui concerne le profil des cadres qui partent à l’étranger, ce sont majoritairement des cadres dans des domaines techniques ou des ingénieurs commerciaux, des jeunes avec entre 2 et 5 ans d’expériences qui maitrisent deux langues étrangères dans des secteurs comme la construction, l’eau, l’énergie, l’environnement et l’équipement.
On se pose tous la question sur l’impact de la crise sur le départ des cadres à l’étranger, ce qui est sûr, c’est que les pays émergents sont les moins touchés par la crise et qu’on peut y trouver de belles opportunités, contrairement aux anciennes économies qui ont un peu plus de mal à absorber les conséquences de la crise.

mercredi 5 novembre 2008

Projet professionnel : faites vous aider par un professionnel .

Formuler et construire son projet professionnel n'est pas simple.


Le travail d'analyse pour définir votre projet professionnel doit vous aider à clarifier vos expériences, goûts, et envies. Ceci en tenant compte des potentialités et contraintes du marché de l'emploi. Il vous faudra vous projeter dans l'avenir pour définir votre futur métier ou fonction, le secteur visé et les conditions de travail souhaitées.

Il est déconseillé de vous lancer dans cette démarche tout seul. Une aide extérieure vous permettra de vérifier si votre projet tient la route, s'il est réaliste et concret, s'il correspond bien aux attentes du marché. Et si vous êtes parti sur une mauvaise piste, elle vous permettra de rectifier le tir.

Pour construire votre avenir ainsi que votre projet professionnel, il est indispensable de tenir compte de votre passé et d'avoir une idée précise sur le domaine d'activité que vous souhaitez intégrer.

Pour mieux vous aider à définir votre projet professionnel il est conseillé de connaître ses forces et ses faiblesses, cela peut se faire par une demande à l'entourage proche : amis, famille, professeurs etc. Écouter sans critiquer les remarques des autres, parfois négatives, est un exercice dur mais nécessaire pour progresser. Mieux encore un bilan de compétences peut vous aider pour mieux vous orienter.


jeudi 23 octobre 2008

le speed networking

Aujourd'hui, avec les départs massifs à la retraite, les entreprises sont obligées de changer leurs méthodes de recrutement et font preuve d'imagination. Elles ont absolument besoin de jeunes diplômés. Et pour cela, tout est fait pour tenter de les séduir: les grands groupes se montrent de plus en plus innovants et leurs techniques de recrutement ne se limitent plus au traditionnel entretien individuel. Parmi les méthodes modernes utilisées par les recruteurs, on trouve de plus en plus fréquemment le speed networking.
En France, les premières expériences du speed networking ont eu lieu en 2002. C'est un entretien professionnel chronométré et ultra-rapide, une excellente idée quand on sait que 20 % des recruteurs se font une opinion d'un candidat dans un laps de temps de 5 à 10 minutes. Son principe est simple : pendant environ une heure, autant de candidats que de recruteurs se rencontrent en face à face, autour d'une table, pour un entretien chronométré qui excède rarement 7 minutes.
Pour les candidats, le speed networking offre l'opportunité de mettre en valeur ce qui n'apparaît pas toujours sur un CV, à savoir le projet professionnel ou la personnalité. Côté recruteurs, le speed networking permet un gain de temps avec un entretien de quelques minutes. L'objectif est de déboucher sur un rendez-vous classique entre les deux interlocuteurs.
Cependant, le speed networking n’est pas un exercice où on peut improviser. On doit s'y préparer méthodiquement étant donné que vous avez juste sept minutes montre en main pour retenir l'attention d'un recruteur, huit entretiens qui s'enchaînent quasiment sans interruption pendant une heure, mais aussi, huit autres candidats, qui, comme vous, essayeront de se faire remarquer et de briller.
Voici donc quelques conseils pour réussir un entretien de speed networking:
*réaliser un mini-cv:
En sept minutes d'entretien, il n'est pas question que votre interlocuteur en consacre deux ou trois à survoler un CV trop détaillé. Donc, essayer de concevoir au préalable un mini-CV d'environ un tiers de page.
La première partie présente de manière synthétique le projet professionnel, tandis que les rubriques "compétences" et "expériences" viennent à la suite et de façon distincte. La rubrique "compétences" offre un espace pour préciser certains aspects de votre profil qui peuvent ouvrir une fenêtre de discussion lors de l'entretien.
*savoir se présenter :
Pour bien démarrer un speed networking, il est crucial de savoir se présenter de façon efficace. Et cela ne s'improvise pas, l'idéal est de préparer un pitch d'une durée de 30 secondes.
Ce discours-type devra reprendre les fondamentaux et les articuler entre eux :
Qui suis-je?
Qui est ma cible?
A quoi suis-je utile?
Quelle est mon expertise?
Donner un éclairage sur ma personnalité (Pour cet aspect, il ne faut pas hésiter à sortir du champ strictement professionnel).
Plusieurs semaines sont nécessaires pour préparer votre pitch et le rendre opérationnel. il s'agit de le connaître absolument par cœur, de sorte que, paradoxalement, on ne le récite plus et qu'il soit donc adaptable sur tout terrain.
Pour en savoir plus, contacter les liens suivant:

mercredi 22 octobre 2008

Le projet professionnel

J’ai pris la décision de faire un bilan de compétence après avoir intégré une grande école d’ingénieur, puisque je ne savais pas très bien ce que je voulais faire. J’ai donc besoin de faire le point et d’évaluer mes compétences ce qui me permettra de repérer mes points forts, les atouts sur lesquelles je peux m’appuyer pour mener à bien la recherche de mes stages de formation et ensuite choisir mon domaine professionnel.
Un bilan de compétence permet avant tout de se connaître à sa propre valeur, ainsi que de lister les compétences générales et techniques, ce qui me permettra donc de me situer par rapport aux secteurs d’activités. Avec internet, la compilation d’informations sur les domaines d’activités est considérablement simplifiée. En effet, on peut y trouver des sites spécialisés tels que le site de l’APEC (l’association pour l’emploi des cadres) ou aussi le site de l’INSEE (l’institut national de la statistique et des études économiques) qui délivrent des informations sur l’emploi, les salaires et les entreprises secteur par secteur. Mais j’avoue que malgré toutes ces sources d’informations, j’ai toujours du mal à trouver le secteur d’activité qui correspond le mieux à mon profil. Par conséquent, j’ai décidé d’identifier d’abord mon profil personnel, à savoir mon mode de raisonnement, mes relations à autrui ainsi que mon caractère avant de me lancer dans la recherche du domaine où je pourrai exceller.
Pour y remédier, j’ai mené une réflexion de fond en m’aidant de deux ouvrages: «Faites le bilan de vos compétence » de Patrick de Sainte Lorette et Corinne Goetz et « Construire son projet professionnel » de Patrick Korenblit, Carole Nicolas et Hélène Lehongre. Ces deux ouvrages proposent une série de tests avec des commentaires et des interprétations des résultats, ils permettent de découvrir sa propre personnalité, son potentiel de progression et ses atouts afin de construire son projet professionnel en phase avec le marché du travail. Seul l’autodiagnostic approfondi permet de préparer le travail et d’élaborer les bases d’un projet professionnel.

samedi 18 octobre 2008

Du cadre étudiant au cadre professionel

Étant étudiant, l’une des questions qu’on peut se poser est celles concernant le projet professionnel.
Ce dernier n’étant pas sorti de nulle part s’avère très difficile à comprendre du premier coup, surtout si on décide de le mettre dans la roue du temps. Ce que j’essaie de dire c’est que depuis notre jeune âge, chaque professeur insiste sur la question “qu’est ce que vous voulez être une fois que vos études soient finies?”.
Et bien là, c’est cette fin qui s’approche. Et c’est à cette même ancienne question que nous devons répondre; qu’est ce que vous voulez faire de vos études une fois terminés?. Mais, dans notre situation, cette question prend bien son goût amère qui révèle de la réussite ou non de notre imagination et de nos rêves enfantins. Et surtout, de voir si durant tout ce temps ( les années d’études ) est ce qu’on a réussi à créer la personne qu’on espérait être.
Alors là, on peut dire qu’on est bien prêt pour parler de son projet professionnel.